La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de M. X et M. Z, reconnus coupables d’apologie et de complicité d’apologie de crimes de guerre. Les juges ont souligné que le droit à l’information, utile à la liberté d’expression, ne dispense pas de condamner les propos glorifiant des actes contraires à la dignité humaine. Ils ont affirmé qu’il n’est pas acceptable de justifier des actes universellement réprouvés, tels que la torture, même dans le cadre d’un récit historique. Cette décision rappelle l’importance de la responsabilité dans l’expression des idées, surtout en matière de crimes contre l’humanité.
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