Le téléchargement de films au travail peut entraîner des sanctions, mais la preuve de la culpabilité d’un salarié n’est pas toujours évidente. Dans une affaire, une salariée a été accusée d’avoir téléchargé 138 films sur son ordinateur professionnel. Cependant, il a été établi que cet ordinateur avait été utilisé par d’autres personnes avant elle et qu’un logiciel de filtrage empêchait l’accès aux sites de téléchargement. De plus, d’autres collaborateurs pouvaient accéder à son ordinateur. Ainsi, la présence des fichiers ne prouve pas qu’elle en est responsable, rendant le licenciement sans cause réelle et sérieuse.
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