La vie privée des chefs d’État est un sujet délicat, notamment en ce qui concerne leur domicile. Le Tribunal a statué que la localisation de la résidence provisoire du couple princier de Monaco ne constitue pas une atteinte à leur vie privée. En effet, le lieu de résidence d’un chef d’État ne peut être considéré comme faisant partie de la sphère protégée de sa vie privée. Cette décision souligne la distinction entre la vie personnelle des dirigeants et leur rôle public, où la transparence est souvent privilégiée au détriment de la confidentialité.
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