Vidéo pornographique au travail : Affaire Gucci

·

·

Vidéo pornographique au travail : Affaire Gucci
Le licenciement d’une salariée de Gucci a été jugé abusif, entraînant une indemnité de près de 45 000 euros. La salariée avait montré des vidéos pornographiques sur son lieu de travail, impliquant un collègue. Cependant, il n’a pas été prouvé qu’elle avait partagé ces vidéos sur un groupe WhatsApp, et les contenus étaient accessibles en ligne, connus des employés. Pour justifier un licenciement pour faute grave, l’employeur doit apporter des preuves concrètes de violations des obligations contractuelles. En l’absence de telles preuves, le licenciement est considéré comme sans cause réelle et sérieuse.

Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.


0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Chat Icon
0
Commenter / Poser une questionx