Le licenciement d’une salariée de Gucci a été jugé abusif, entraînant une indemnité de près de 45 000 euros. La salariée avait montré des vidéos pornographiques sur son lieu de travail, impliquant un collègue. Cependant, il n’a pas été prouvé qu’elle avait partagé ces vidéos sur un groupe WhatsApp, et les contenus étaient accessibles en ligne, connus des employés. Pour justifier un licenciement pour faute grave, l’employeur doit apporter des preuves concrètes de violations des obligations contractuelles. En l’absence de telles preuves, le licenciement est considéré comme sans cause réelle et sérieuse.
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