Dans le domaine de la mode, la protection des univers graphiques et artistiques est possible par l’action en parasitisme. Chanel a illustré cette protection en obtenant 200.000 euros de dommages et intérêts contre Inditex pour des inspirations jugées trop proches de ses collections « automne / hiver 2017 » et « Cruise 2018 ». Bien que les éléments pris individuellement ne soient pas originaux, leur combinaison, associée à des défilés et à une communication spécifique, crée une valeur économique individualisée. Le tribunal a reconnu des emprunts volontaires, soulignant l’importance de préserver l’identité et le luxe des créations de Chanel.
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