Un reportage diffusé sur France 2 a suscité une controverse après qu’une victime d’accident domestique a été filmée sans son consentement. Bien que son visage ait été flouté, la silhouette et la voix de la victime, ainsi que des éléments reconnaissables de son intérieur, ont permis à des témoins de l’identifier. La victime a argué que sa représentation dans une situation de détresse, associée à des éléments de sa vie privée, constituait une atteinte à son droit au respect de la vie privée. La chaîne a tenté de défendre son droit à l’information, mais cela n’a pas prévalu sur les droits de la victime.
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