L’association [6] a assigné le directeur de publication de BFM TV, [J] [D], pour obtenir la diffusion d’une réponse à des accusations d’escroqueries et de violences physiques portées contre elle dans un reportage. Malgré la demande formelle, [J] [D] a refusé d’insérer la réponse, arguant que celle-ci dépassait la durée maximale autorisée de deux minutes. Le tribunal a jugé que, compte tenu des divergences sur le temps de lecture, la demande d’insertion forcée du droit de réponse n’était pas recevable. L’association a été condamnée à payer 2000 euros pour les frais exposés.
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