Le 29 novembre 2024, l’autorité administrative a placé [H] [G], ressortissant marocain, en rétention. Le 1er décembre, son conseil a contesté cette décision, présentant des documents d’adresse en Espagne, malgré une interdiction de retour en France. L’administration a souligné l’illégalité de son admission en Espagne et l’absence de traductions. Le 30 novembre, une prolongation de la rétention de vingt-six jours a été demandée, sans contestation. Le tribunal a confirmé la régularité du placement, notant des incohérences dans les identités fournies et l’absence de preuve de domiciliation en Espagne, justifiant ainsi la prolongation.
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