En zone de guerre, le statut du journaliste implique des risques considérables. Pour les missions à haut danger, des assurances spécifiques sont nécessaires, conclues par accord entre l’entreprise et le journaliste. Ces polices doivent couvrir les frais de rapatriement en cas de décès. L’indemnisation minimale en cas de décès ou d’invalidité permanente est fixée à 10 fois le salaire annuel du journaliste, sans dépasser un plafond lié au salaire du rédacteur en chef. Les assurances doivent également inclure des protections contre l’invalidité permanente partielle, garantissant ainsi une couverture adéquate pour les professionnels exposés.
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