Dans l’affaire Artprice, le Tribunal de Grande Instance de Paris a statué que les catalogues des maisons de vente aux enchères, se contentant de reproduire les œuvres et de les mettre en page, ne bénéficient pas de la protection du droit d’auteur. Cette pratique, jugée banale, ne justifie pas une telle protection. Cependant, une forme de protection indirecte est reconnue par le biais du parasitisme, car la mise en ligne identique des catalogues par Artprice.com pourrait nuire aux ventes des abonnés des maisons de vente, affectant ainsi leur politique commerciale.
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