L’affaire Laurie illustre les tensions entre le droit à l’image et la vie privée des célébrités. L’éditeur de Closer a été condamné pour avoir publié une photo de Laurie avec la mention de sa prétendue lutte contre l’endométriose, une maladie qu’elle n’a jamais confirmée publiquement. Cette évocation, associée à des conséquences sur sa vie intime, a été jugée comme une atteinte à sa vie privée. Bien que la juridiction ait limité les dommages à 2.500 €, elle a reconnu que Laurie avait, par le passé, partagé des éléments de sa vie personnelle, ce qui a complexifié la protection de son image.
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