Le licenciement d’un salarié, annoncé sur les réseaux sociaux, peut être considéré comme une rupture vexatoire. Si ce licenciement est dépourvu de cause réelle et sérieuse et que le salarié subit un préjudice en raison du comportement fautif de l’employeur, il peut demander des dommages et intérêts. Dans un cas récent, un salarié a obtenu 10 000 euros pour ce préjudice, en plus de l’indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse. Cette décision souligne l’importance du respect des procédures de licenciement et de la dignité des employés.
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