Les investissements dans les SOFICA, destinés à financer l’industrie cinématographique, ont perdu de leur attrait. Le Crédit Agricole a été condamné pour manquement à son devoir d’information envers des clients ayant investi dans ces produits. Bien que la banque ait agi en tant que distributeur, elle ne pouvait se soustraire à ses obligations d’information sur les risques. Les clients, non considérés comme des investisseurs avertis, ont subi des pertes suite à la liquidation de la société Carrère group. La banque a échoué à fournir des conseils adéquats et à alerter ses clients des difficultés rencontrées par l’entreprise.
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