L’hébergement virtualisé d’un site peut limiter le droit du client à administrer son propre site, bien que le code source lui appartienne. Le contrat stipule qu’un administrateur système dédié supervise les serveurs, rendant l’administration directe impossible. Le prestataire a clairement informé le client de cette option, lui offrant la possibilité de choisir une gestion directe du serveur. Malgré cette information, le client a continué à solliciter des développements supplémentaires, sans opter pour une administration autonome. Les échanges entre le client et le prestataire ont été courtois, et ce dernier a toujours répondu rapidement aux incidents signalés.
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