Dans cette affaire, la question centrale était de déterminer si un tiers ayant financé un film devait être remboursé en cas d’échec commercial, ou s’il devait assumer le risque de cet échec. Les tribunaux ont considéré que le financement apporté par le tiers était un prêt, et non un investissement risqué. Ainsi, le producteur était tenu de rembourser cette avance, même si le film ne générait pas de recettes. Cette décision souligne l’importance de la qualification des apports financiers dans le secteur de la production audiovisuelle.
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