Le 15 avril 2022, la Cour d’Appel de Nîmes a examiné l’appel de M. [D] [W], de nationalité marocaine, contre une ordonnance de placement en rétention administrative. Interpellé le 11 avril 2022, il faisait l’objet d’un arrêté d’expulsion notifié en mars 2021. Malgré ses déclarations affirmant avoir un domicile fixe et ne pas comprendre les raisons de sa rétention, la cour a confirmé la décision du juge des libertés, soulignant son non-respect des obligations d’assignation à résidence et son passé judiciaire chargé. La prolongation de sa rétention a été jugée justifiée pour permettre son éloignement effectif.
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