Le tribunal a jugé que les propos tenus par la journaliste [X] [N] lors de l’interview de [Z] [W] sur BFM TV ne constituaient pas des imputations diffamatoires. [Z] [W] avait reproché à la journaliste d’insinuer qu’il se prétendait faussement l’avocat de [A] [F] et qu’il avait joué un rôle dans la diffusion de vidéos à caractère sexuel de [Y] [B]. Cependant, le tribunal a estimé que les questions posées étaient des interrogations légitimes dans le cadre de l’interview. En conséquence, [Z] [W] a été débouté de ses demandes et condamné à payer les dépens et 1.000 euros à [M] [L] et NEXTINTERACTIVE.
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