La société T a intenté une action en justice contre la société J pour débauchage illicite, après que son chef d’agence et d’autres salariés aient été recrutés par Airbus via J. Les tribunaux ont constaté que J avait violé la clause de non-concurrence du chef d’agence, soulignant qu’il était de leur responsabilité de vérifier son statut contractuel. Les manœuvres de J visaient à désorganiser l’agence de T et à détourner la clientèle d’Airbus en utilisant des informations confidentielles. Cette affaire met en lumière les enjeux juridiques liés au débauchage et à la protection des données professionnelles.
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