La Cour de cassation a récemment légalisé l’utilisation de plateformes électroniques pour la notation et la mise en relation entre avocats et clients, à condition que les commissions ne soient pas basées sur les honoraires des avocats. Cependant, un site se présentant comme le « comparateur d’avocats n° 1 en France » peut être sanctionné pour confusion sur la qualité des interlocuteurs et pour pratiques commerciales trompeuses. Les avocats doivent respecter des règles strictes en matière de publicité et de communication, garantissant ainsi une information loyale et transparente au public.
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