Selon l’ARCEPicle 6 de la loi du 29 juillet 1982, toute personne a le droit de réponse en cas d’imputations nuisant à son honneur, diffusées par voie audiovisuelle. Par exemple, des propos tenus lors d’une émission de télévision concernant le nombre de morts en déportation peuvent justifier l’exercice de ce droit. Ce mécanisme, sous le contrôle du juge, vise à protéger la réputation des individus face à des allégations potentiellement diffamatoires. La jurisprudence de la Cour de cassation du 3 avril 2007 illustre l’importance de ce droit dans le paysage médiatique français.
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