Mrs X et Y, auteurs d’un ouvrage controversé, ont été relaxés du délit de diffamation raciale en raison de l’absence d’imputation de faits précis. Cependant, ils ont été condamnés pour contestation de crime contre l’humanité, soulignant ainsi la gravité de leurs propos négationnistes. Cette décision de la Cour de cassation, rendue le 28 mars 2006, illustre l’importance de la législation française sur la protection de la mémoire des victimes des crimes nazis et la lutte contre la diffusion de discours haineux. La jurisprudence rappelle que la contestation des crimes contre l’humanité est passible de sanctions pénales.
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