La candidate de l’émission « Wild » a intenté une action en justice contre les sociétés GTNCO et Métropole Télévision après qu’une séquence dégradante, où elle souffrait de diarrhée, ait été diffusée. Elle soutenait que cette diffusion violait son droit à l’image et portait atteinte à sa dignité. Cependant, la cour a jugé que la séquence était conforme aux termes du contrat signé, qui autorisait l’exploitation de son image dans le cadre de l’émission. La cour a ainsi déclaré ses demandes irrecevables, affirmant que la diffusion s’inscrivait dans le cadre des prévisions contractuelles.
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