La Cour de cassation a condamné des gérants de sociétés pour exercice illégal de la pharmacie et publicité mensongère. Le conseil national de l’ordre des pharmaciens avait porté plainte contre des fabricants commercialisant un patch et un baume chinois, qualifiés de médicaments. Ces produits, présentés avec des mentions de composition et de posologie, laissaient croire à des propriétés curatives, les rendant ainsi des médicaments par présentation. L’agence nationale de sécurité du médicament a confirmé cette qualification, soulignant que ces produits ne pouvaient être considérés comme de simples cosmétiques, en raison de leur nature et de leur présentation.
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