Dans une affaire de diffamation, un avocat a assigné le mensuel Lyon Mag après la publication d’un article insinuant qu’il conseillait à son client de discréditer un témoin en le qualifiant de « fêlé ». Les juges ont conclu que cette phrase, isolée de son contexte, portait atteinte à l’honneur de l’avocat, laissant entendre qu’il prônait une défense simpliste et injurieuse. La Cour de cassation a confirmé la décision des juges d’appel, soulignant que l’allégation était diffamatoire et nuisait à la réputation professionnelle de l’avocat, remettant en question son intégrité et son éthique dans le cadre de sa pratique.
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