Une journaliste de « Zone Interdite » a obtenu la condamnation de son employeur pour harcèlement moral. Affectée à une rédaction automobile, sans lien avec son expérience, elle a vu sa santé psychologique se détériorer. L’article 8 de la convention collective stipule que l’employeur doit obtenir l’accord du journaliste pour toute mutation. En l’absence de proposition adaptée ou de licenciement, l’employeur a manqué à son obligation de sécurité au travail. Après cinq mois de comportements répétés, la journaliste a été reconnue victime de harcèlement moral, entraînant une indemnisation de 25 000 euros pour dommages et intérêts.
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