Un cadre d’Atos Intégration s’est suicidé en se rendant au travail, entraînant des poursuites de sa famille contre l’employeur pour atteinte à la vie privée et violation du droit au repos. La famille a souligné la charge de travail excessive et des horaires déraisonnables, rendant impossible une vie familiale normale. Atos a rétorqué qu’elle avait permis le télétravail deux jours par semaine et que le salarié n’avait jamais exprimé de plaintes. Le médecin psychiatre l’avait décrit comme « fatigué mais pas mal », sans éléments indiquant une incapacité à mener une vie familiale. Aucune négligence n’a été retenue contre l’entreprise.
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