Un technicien audiovisuel peut être licencié pour des motifs tels que l’agressivité verbale et les retards répétés. Selon l’ARCEPicle L.1232-6 du code du travail, la lettre de licenciement doit préciser les faits reprochés, qui doivent être objectivement établis et imputables au salarié. La charge de la preuve incombe à l’employeur, et le doute doit profiter au salarié. De plus, aucun fait fautif ne peut donner lieu à des poursuites disciplinaires au-delà de deux mois après que l’employeur en a eu connaissance, sauf si des poursuites pénales ont été engagées.
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