L’émission « Pièces à conviction » a suscité une controverse en présentant un prêtre comme complice de génocide lors du génocide rwandais. Bien que condamné par contumace par un tribunal militaire rwandais, le reportage a omis de préciser que cette condamnation n’était pas émanée d’une juridiction internationale. Les journalistes ont laissé entendre qu’ils adhéraient aux accusations, créant ainsi une impression de culpabilité. La présomption d’innocence, un droit fondamental, a été mise à mal, car le reportage a véhiculé des conclusions définitives sans nuance, ce qui a pu induire les téléspectateurs en erreur quant à la culpabilité du prêtre.
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