L’affaire Le Club des Extras soulève des questions sur la légalité des plateformes de mise en relation dans le secteur du travail temporaire. Poursuivie par Staffmatch France, la société a été accusée d’exercer illégalement cette activité. Les juges ont dû déterminer si la mise en relation entre professionnels faisait du Club des Extras une entreprise de travail temporaire. Les travailleurs inscrits, en tant qu’autoentrepreneurs, ne sont pas liés par un contrat de travail, selon la législation en vigueur. Ainsi, les accusations de contournement du régime des micro-entrepreneurs n’ont pas été retenues, le modèle économique de la plateforme étant légalement reconnu.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.