La société Blackdivine, exploitant le site Gleeden, a vu sa communication publicitaire jugée légale. L’association CNAFC a tenté sans succès de contester les conditions générales d’utilisation du site, arguant que l’adultère constitue une faute civile. Cependant, les juges ont précisé que l’obligation de fidélité ne peut être invoquée que par les époux dans le cadre d’un divorce. De plus, les publicités de Gleeden, validées par le jury de déontologie publicitaire, n’incitent ni au mensonge ni à la duplicité. Interdire le site serait une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression, essentielle dans une société démocratique.
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