Les reportages d’interventions d’urgence, tels que ceux des pompiers ou du SAMU, soulèvent des préoccupations concernant la vie privée. Selon la jurisprudence, les producteurs et diffuseurs ne sont pas responsables des atteintes à la vie privée si les personnes filmées sont floutées et donc non identifiables. Dans une affaire jugée par la Cour d’appel de Paris le 13 janvier 2011, les sociétés M6 et Tony Comiti ont été exonérées de toute responsabilité, établissant ainsi un précédent sur la protection de l’image dans le cadre audiovisuel. Cette décision souligne l’importance des techniques de floutage pour préserver la vie privée.
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