L’affaire Twenga illustre les défis liés à la fraude aux clics dans le domaine du référencement. La société My Maison a tenté de prouver que Twenga avait engagé des clics frauduleux, mais ses arguments n’ont pas convaincu les juges. Malgré une diminution du taux de conversion sur son site, My Maison n’a pas réussi à établir un lien direct avec Twenga. Les preuves fournies par Twenga, incluant des logs détaillés des clics, ont été jugées suffisantes pour démontrer l’exécution de ses obligations contractuelles. En conséquence, la cour a confirmé le jugement en faveur de Twenga, condamnant My Maison à régler les factures impayées.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.