Lors du tournage de la série « Meurtre au paradis », un propriétaire a accusé la société de production d’avoir causé des dégradations sur sa propriété, entraînant des préjudices matériels et une perte de jouissance. Cependant, la responsabilité d’Atlantique productions n’a pas été engagée, faute de preuves. Selon le code civil, il incombe à chaque partie de prouver les faits nécessaires à sa prétention. En l’espèce, aucune preuve n’a établi que la société s’était introduite sur la propriété ou avait causé des dommages, ce qui a conduit à l’absence de reconnaissance de préjudice.
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