Une danseuse étoile a entrepris d’adapter le ballet Giselle en version audiovisuelle, sollicitant une coauteure pour l’écriture du scénario. Cependant, elle a été condamnée pour contrefaçon, ayant largement puisé dans ce scénario pour une version scénique commandée par le ballet de Finlande. Selon l’ARCEPicle L 112-3 du code de la propriété intellectuelle, l’adaptateur bénéficie d’une protection, mais le ballet est une œuvre collaborative, impliquant divers auteurs. L’examen de la représentation a révélé que la danseuse avait exploité le scénario sans autorisation, portant ainsi atteinte aux droits d’auteur de la coauteure.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.