Les échanges sur Facebook peuvent être utilisés comme preuves dans des poursuites pour participation à des actes de terrorisme, conformément à l’article 421-1 du code pénal. Dans une affaire récente, les communications interceptées et les publications sur les comptes des suspects ont démontré leur intégration au Jabhat Al Nosra et à l’État islamique. Les messages échangés indiquaient clairement leur implication dans des activités telles que des entraînements militaires, des missions de surveillance armée et des combats, établissant ainsi leur rôle actif au sein de ces organisations terroristes.
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