Le prêt de main-d’œuvre est licite lorsqu’il vise à mobiliser du personnel extérieur pour des missions de surveillance et de protection nécessitant des compétences spécifiques. Selon l’article L.8241-1 du code du travail, toute opération de prêt de main-d’œuvre à but lucratif est interdite, sauf dans certains cas, comme le travail temporaire ou les associations sportives. Le marchandage, défini comme une fourniture de main-d’œuvre à but lucratif causant un préjudice au salarié, est également prohibé. Ainsi, le prêt de main-d’œuvre doit respecter des conditions strictes pour être considéré comme légal.
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