Le 6 novembre 2024, une mesure de soins psychiatriques sans consentement a été demandée pour Mme [L] [I] en raison de son état mental préoccupant. Placée en isolement le 12 novembre, cette mesure a été validée par un magistrat le 15 novembre et renouvelée le 19 novembre, en raison de son agitation et d’une décompensation psychotique grave. Le directeur du centre hospitalier a requis le maintien de l’isolement, justifié par le danger que représente l’état de Mme [L] pour elle-même et autrui. Le tribunal a finalement autorisé cette mesure, les dépens étant à la charge de l’État.
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