Madame [V] [E] a été hospitalisée sans consentement le 15 novembre 2024, en raison de troubles mentaux graves, dont un syndrome dépressif sévère et des idées suicidaires. Malgré son calme apparent, elle présentait une froideur affective et contestait la véracité des certificats médicaux. Lors de l’audience, elle a exprimé son désir d’être incarcérée plutôt que soignée. Le conseil de la patiente a soulevé des préoccupations sur la notification tardive de l’arrêté d’admission, mais le tribunal a jugé que cela ne constituait pas un grief. La mesure d’hospitalisation a été maintenue pour assurer la sécurité de la patiente et des tiers.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.