Mme [V] a été engagée par Crédit Suisse en tant que vice-président en 2009. Après plusieurs congés, dont un sabbatique et des congés de maternité, elle a signé une rupture conventionnelle en mai 2016. Estimant avoir subi une discrimination liée à son sexe, elle a saisi le tribunal prud’homal en 2017. La cour d’appel a reconnu des éléments pouvant suggérer une discrimination, mais a conclu que son absence prolongée avait influencé sa non-retenue pour une promotion. Finalement, la cour a jugé que les motifs de l’employeur étaient objectifs, confirmant ainsi la décision de la cour d’appel.
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