Dans le cadre d’une œuvre littéraire, la liberté de création de l’auteur est primordiale, surtout pour les fictions. Cependant, lorsque des personnes réelles sont intégrées, le respect de leur vie privée doit être considéré. Un tribunal a jugé qu’un roman avait porté atteinte à la vie privée d’un protagoniste, car il utilisait son véritable nom et faisait référence à des événements réels, comme le suicide d’un camarade. Cette mention, dénuée de la distanciation nécessaire, a causé un préjudice certain à la personne concernée, rendant la défense de la liberté artistique inapplicable dans ce cas précis.
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