Le #Balancetonporc a permis à Sandra Muller de défendre la liberté d’expression face à des accusations de diffamation. Son tweet, relatant des propos inappropriés d’un ancien directeur de chaîne, a été jugé dans le cadre d’un débat d’intérêt général sur la libération de la parole des femmes. La cour a reconnu sa bonne foi, soulignant que ses propos visaient à dénoncer des comportements sexuels inacceptables. La décision rappelle que la liberté d’expression doit être protégée, même si les termes employés peuvent sembler violents, tant qu’ils ne portent pas atteinte à la dignité des personnes de manière injustifiée.
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