Le salut nazi, bien qu’il ne soit pas explicitement mentionné dans l’article 23 de la loi du 29 juillet 1881, est considéré comme une provocation à la haine et à la violence. Dans une affaire récente, un chef de brigade anti-criminalité a été condamné à six mois de prison avec sursis pour avoir proféré des propos antisémites, accompagnés de gestes nazis, en compagnie de ses subordonnés. Ces actes, bien que commis en dehors du service, portent atteinte à l’exemplarité et à la dignité des fonctionnaires de police, nuisant ainsi à l’image de l’institution républicaine.
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