Le groupe France Télévisions a été condamné pour son inaction face à la détresse d’une salariée, animatrice radio, qui avait alerté la direction sur sa souffrance au travail. Malgré ses menaces de suicide et une tentative sur son lieu de travail, l’employeur n’a pas pris les mesures nécessaires pour protéger sa santé mentale. La salariée a dénoncé des conditions de travail dégradantes, évoquant « violence managériale » et « harcèlement ». La cour a reconnu la responsabilité de l’employeur, lui allouant 8 000 euros pour le préjudice subi, soulignant l’absence de réaction adéquate face à des alertes claires et répétées.
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