Les animateurs de la radio Free Dom ont incité leurs auditeurs à partager des témoignages choquants sur des cadavres découverts, cherchant à accroître l’audience par l’étalage de faits morbides. Cette attitude a été jugée contraire à la dignité humaine, entraînant une mise en demeure par L’ARCOM, qui avait rappelé à la radio son engagement à respecter la personne humaine. Les juges administratifs ont confirmé la légitimité de cette sanction, soulignant que la diffusion de rumeurs portait atteinte à l’ordre public. Cette affaire illustre les limites à ne pas franchir dans le traitement de sujets sensibles à l’antenne.
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