Le licenciement d’une surveillante éducatrice dans un internat catholique a été validé par la cour d’appel d’Amiens. La salariée avait tenu des propos inappropriés sur ses pratiques sexuelles lors d’une discussion avec des adolescentes, évoquant des thèmes tels que le sadomasochisme et les maisons closes. La juridiction a jugé que ces comportements constituaient une méconnaissance flagrante de sa mission éducative. Malgré ses contestations, la cour a confirmé que le licenciement pour faute était justifié, soulignant l’impact négatif de ses actions sur les jeunes filles placées sous sa responsabilité.
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