Une candidate non sélectionnée a contesté la nomination de la directrice générale de la fémis devant le Conseil d’État. Le décret attaqué a été jugé valide, car l’avis de vacance avait bénéficié d’une publicité suffisante. Le comité de recrutement, qui a recommandé la candidate retenue, a été critiqué pour des liens préexistants avec elle, mais les juges ont estimé que cela ne constituait pas un défaut d’impartialité. De plus, la candidate sélectionnée, diplômée d’HEC et forte d’une expérience significative dans le cinéma, n’a pas été jugée inappropriée pour le poste, écartant ainsi toute erreur manifeste d’appréciation.
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