Un producteur remplit ses obligations d’exploitation d’une œuvre audiovisuelle conforme aux usages de la profession, même face à des débuts difficiles. Malgré le refus des chaînes de télévision, une diffusion en salles a été décidée, financée par une avance sur recettes. Les échanges avec les chaînes témoignent des efforts du producteur pour obtenir une diffusion télévisée. Le film a été présenté dans de nombreux festivals internationaux et a reçu une nomination aux Césars 2012 dans la catégorie « meilleur documentaire ». L’auteur, quant à lui, n’a pas démontré de violation des obligations d’exploitation prévues par le code de propriété intellectuelle.
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