Les producteurs d’émissions d’interventions d’urgence doivent garantir un floutage complet des personnes ne souhaitant pas être filmées. Un conducteur interpellé en état d’ébriété a été flouté, mais la qualité du floutage était insuffisante pour éviter son identification par des proches. L’insuffisance du floutage constitue une diffusion d’image sans consentement, associant l’individu à des faits personnels non acceptés. En conséquence, la « victime » a obtenu 10.000 euros pour préjudice, somme réduite à un euro symbolique en appel. Cette affaire souligne l’importance d’un floutage efficace pour protéger la vie privée des individus filmés.
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