L’affaire des « Paras de Francazal » a marqué les esprits en 1989, avec des crimes de meurtres et de viols en réunion. Thierry Le B., condamné à perpétuité, a contesté la diffusion d’images le représentant dans un documentaire, arguant que cela portait atteinte à son droit à l’image. Cependant, les images utilisées ne provenaient pas de sa détention, mais de son service militaire et de son procès. La cour a jugé que l’intérêt public l’emportait sur son droit à l’oubli, soulignant que les faits criminels demeurent d’une gravité exceptionnelle et suscitent un intérêt légitime.
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