Le licenciement d’un consultant de Robert Walters a été confirmé en raison de l’examen de ses fichiers informatiques, révélant des annotations inappropriées sur des candidats. Ces commentaires, souvent péjoratifs, incluaient des descriptions telles que « bon profil chinois » et « frustré ». De plus, le salarié avait transféré vers sa boîte personnelle un fichier contenant des données sensibles de plus de 1.300 candidats, en violation des règles de confidentialité. La charte informatique de l’entreprise interdisait explicitement de telles actions, justifiant ainsi le licenciement pour faute grave, car cela compromettait les intérêts légitimes de l’employeur.
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